L'Ouzbékistan fut toujours un centre d'intersection de nombreuses cultures et civilisations, différentes religions y se propagèrent, c'est pourquoi des monuments uniques des religions islamique, bouddhiste et chrétienne furent préservés.
Avez-vous déjà réfléchi à la vie moderne et au rôle de l'homme dans celle-ci ? Arrêtez-vous un instant et oubliez la recherche sans fin de choses modernes et de produits de luxe. Faites une pause et réfléchissez. Quelle est la forme intérieure de l'homme maintenant ? Peut-on qualifier l'homme contemporain d'heureux, et qu'est-ce qui le rend ainsi ? Pour trouver les réponses à ces questions philosophiques, certaines personnes passent leur vie entière, d'autres ne les trouvent malheureusement pas et d'autres encore partent en pèlerinage.
Et ce n'est pas seulement un voyage, c'est une occasion de se chercher, un espoir d'illumination spirituelle, un moyen de livrer votre demande et votre prière, un moyen de toucher la source de la foi, la conscience de votre foi et le sens de l'existence. Le pèlerinage est une occasion de se tourner vers le Tout-Puissant à travers un saint, d'apaiser l'esprit et l'âme, de comprendre la vérité de la sainteté, de parcourir le chemin de la solitude et de la purification.
En Asie centrale, ce type de pèlerinage est appelé Ziyorat, qui signifie "visite de lieux saints".
L'Ouzbékistan fut toujours un centre d'intersection de nombreuses cultures et civilisations, différentes religions y se propagèrent, c'est pourquoi des monuments uniques des religions islamiques, bouddhiste et chrétienne furent préservés.
Objets du tourisme Ziyorat
Sur le territoire de l'Ouzbékistan, il existe de nombreux lieux sacrés liés à la culture islamique et à son soufisme, ainsi qu'à d'autres religions. Les monuments les plus précieux sont reconnus comme des sites du patrimoine mondial de l'UNESCO. Parmi elles, la ville de Boukhara, connue dans le monde islamique sous le nom de Boukhara Sharif, qui signifie Boukhara bénie. La ville de Samarcande, qui possède un grand nombre de monuments inestimables. Shakhrisabz - lieu de naissance d'Amir Temur. Sans aucun doute, ces villes ont une histoire ancienne et riche, ayant subi des changements considérables tout au long de leur vie.
L'idée d'immortalité est associée à ces villes. Il y a un épisode dans la biographie du prophète Mahomet. Il faisait un mirage. Il avait un cheval céleste et sur ce cheval il est monté au ciel. Il visita d'abord Jérusalem, puis la Mecque. En se dirigeant vers la Mecque, il vit les rayons du soleil illuminer le monde entier. Puis il ne vit que deux points sur la terre d'où les rayons venaient du bas vers le haut. Ces rayons étaient Boukhara et Samarcande.
Sites chrétiens
L'émergence du christianisme en Asie centrale est associée aux noms des apôtres Thomas et André, qui prêchèrent dans la région au début du premier millénaire.
L'islam et le christianisme, les deux plus importantes religions du monde, coexistèrent pacifiquement depuis lors. En Ouzbékistan, il existe plus de 10 lieux de pèlerinage qui sont sacrés et vénérés par les chrétiens et les musulmans.
Jusqu'à l'époque moderne, il existe sur le territoire de l'Ouzbékistan des "sources de Job", vénérées à la fois par les chrétiens et les musulmans, dont la plus célèbre est située à Boukhara.
L'Église orthodoxe d'Ouzbékistan commença à se former avec l'arrivée de l'Église orthodoxe russe en Asie centrale après l'annexion de la majeure partie de cette région à l'Empire russe et la création du gouvernorat général du Turkestan (1867).
Patrimoine bouddhiste
En 1968, une statue de Bouddha fut trouvée sur le territoire de l'ancienne Termez, et depuis lors, cette terre devint le principal objet d'étude de nombreux scientifiques archéologues. Plus tard, les plus anciens complexes de temples bouddhistes furent découverts : Fayaztepa (1er siècle avant J.-C. - 3e siècle après J.-C.), Kampyrtepa, Karatepa. La découverte des éléments de la célèbre frise Ayrtam, représentant des musiciens antiques, permit de prouver que le bouddhisme était autrefois prêché dans cette région et de retrouver des éléments de la culture hellénistique. Les bas-reliefs en terre cuite de la frise sont aujourd'hui conservés au musée d'État de l'Ermitage à Saint-Pétersbourg.
Sur le territoire de l'Ouzbékistan, il existe de nombreux lieux sacrés liés à la culture islamique et à son soufisme, ainsi qu'à d'autres religions. Les monuments les plus précieux sont reconnus comme des sites du patrimoine mondial de l'UNESCO. Parmi elles, la ville de Boukhara, connue dans le monde islamique sous le nom de Boukhara Sharif, qui signifie Boukhara bénie. La ville de Samarcande, qui possède un grand nombre de monuments inestimables. Shakhrisabz - lieu de naissance d'Amir Temur. Sans aucun doute, ces villes ont une histoire ancienne et riche, ayant subi des changements considérables tout au long de leur vie.
L'idée d'immortalité est associée à ces villes. Il y a un épisode dans la biographie du prophète Mahomet. Il faisait un mirage. Il avait un cheval céleste et sur ce cheval il est monté au ciel. Il visita d'abord Jérusalem, puis la Mecque. En se dirigeant vers la Mecque, il vit les rayons du soleil illuminer le monde entier. Puis il ne vit que deux points sur la terre d'où les rayons venaient du bas vers le haut. Ces rayons étaient Boukhara et Samarcande.
L'émergence du christianisme en Asie centrale est associée aux noms des apôtres Thomas et André, qui prêchèrent dans la région au début du premier millénaire.
L'islam et le christianisme, les deux plus importantes religions du monde, coexistèrent pacifiquement depuis lors. En Ouzbékistan, il existe plus de 10 lieux de pèlerinage qui sont sacrés et vénérés par les chrétiens et les musulmans.
Jusqu'à l'époque moderne, il existe sur le territoire de l'Ouzbékistan des "sources de Job", vénérées à la fois par les chrétiens et les musulmans, dont la plus célèbre est située à Boukhara.
L'Église orthodoxe d'Ouzbékistan commença à se former avec l'arrivée de l'Église orthodoxe russe en Asie centrale après l'annexion de la majeure partie de cette région à l'Empire russe et la création du gouvernorat général du Turkestan (1867).
En 1968, une statue de Bouddha fut trouvée sur le territoire de l'ancienne Termez, et depuis lors, cette terre devint le principal objet d'étude de nombreux scientifiques archéologues. Plus tard, les plus anciens complexes de temples bouddhistes furent découverts : Fayaztepa (1er siècle avant J.-C. - 3e siècle après J.-C.), Kampyrtepa, Karatepa. La découverte des éléments de la célèbre frise Ayrtam, représentant des musiciens antiques, permit de prouver que le bouddhisme était autrefois prêché dans cette région et de retrouver des éléments de la culture hellénistique. Les bas-reliefs en terre cuite de la frise sont aujourd'hui conservés au musée d'État de l'Ermitage à Saint-Pétersbourg.
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